mardi 8 septembre 2009

Iles-aux-Coudres

Auteur
Patrick Marcoux

Il n’y a pas très longtemps, j’ai découvert l’Ile-aux-Coudres. Bon, Jacques Cartier l’a découvert 467 ans avant moi, mais je suis sûr qu’il pensait à moi à ce moment!!
Quel beau paysage. J’étais assis confortablement dans ma west, et je me suis surpris à rêvasser tout en contemplant l’estuaire.
C’est le temps de respirer l’odeur de l’eau, à peine salée du fleuve, tout en attendant d’embarquer sur l’île.
Après une attente et une balade de 30 minutes, le traversier nous a déposé sur la rive insulaire de la petite baie qui a conservé le nom de Mouillage des Français.
Cette baie était utilisé par les français pour se protéger des vents forts souvent rencontrés sur le fleuve.


Suivez le guide

Mais la vrai découverte de l’île, c’est en vélo. Une ceinture de 26 km de route pour apercevoir à chaque détour un nouveau trésor.
Il y a des petites côtes, mais des Mononcs et des Matantes sont habitués de monter des côtes pas vite!!!
Nous sommes parvenus à la Maison Normande où la vieille dame nous a raconté une parcelle de ses 35 ans de vie passé sur l’île et des petites histoires sur ses insulaires!

En plus des boutiques, vous pouvez arrêter dans le musée de l’Ile-aux-Coudres, les moulins de l’Île-aux-Coudres et au musée des Voitures d’eau.

Le chemin périphérique laisse apparaître des bijoux pittoresques de notre patrimoine québécois. Comme cette chapelle construite en 1837.
Il ne faut pas oublier les randonnées en kayak de mer, les sentiers pédestres et les théâtres. Vous n’avez qu’à vous procurer une carte au centre d’information touristique pour les horaires et les coûts. Pour le kayak, c’est le prix qui donne un coup!

Le soir, tout se passe dans la pointe Est de l’île. Une pointe où l’on peut squatter en tout quiétude. Ou bien dans l’un des trois camping officiels.

Pour le retour, on peut prévoir un 2 heures d’attente pour retraverser. On en profite pour faire le souper et se souvenir des bons moments vécus dans ce petit paradis insulaire.

Bonne découverte.

Patrick Marcoux 2002

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